dénotent des probabilitésla théorie des probabilités, formalisée à partir du XVIIe siècle, est le plus ancien cadre de modélisation* de l’incertain et reste le plus utilisé. Les probabilités ont dès le départ un caractère dual, se référant soit à des fréquences d’événements (obtenues par statistiques), soit à... More dont les valeurs peuvent être dans certains cas mal connues. On peut représenter alors de telles valeurs par des intervalles, mais leurs bornes n’obéissent plus aux lois des probabilitésla théorie des probabilités, formalisée à partir du XVIIe siècle, est le plus ancien cadre de modélisation* de l’incertain et reste le plus utilisé. Les probabilités ont dès le départ un caractère dual, se référant soit à des fréquences d’événements (obtenues par statistiques), soit à... More. Les probabilités imprécisesdénotent des probabilités dont les valeurs peuvent être dans certains cas mal connues. On peut représenter alors de telles valeurs par des intervalles, mais leurs bornes n’obéissent plus aux lois des probabilités. Les probabilités imprécises offrent un cadre très général, qui inclut comme cas particuliers... More offrent un cadre très général, qui inclut comme cas particuliers la théorie des fonctions de croyancethéorie de représentation de l’incertitude, introduite en 1976 par Glenn Shafer, qui inclut comme cas particuliers les théories des probabilités* et des possibilités*. L’incertitude y est évaluée par deux fonctions duales, la fonction de croyance et la fonction de plausibilité (dont la valeur en un... More*, et la théorie des possibilitésthéorie de l’incertitude, réinventée plusieurs fois au XXe siècle, propre à représenter des situations d’ignorance partielle en distinguant entre le plus ou moins possible et le plus ou moins certain. La possibilité de « A ou B » est le maximum des possibilités des événements... More* quantitatives.
De quoi s'agit-il vraiment ?